ANNULE - reporté au dimanche 12 septembre 17 h 00 en clôture des journées Joue la Collectif
Frédéric Chiffoleau - contrebasse
Yoann Loustalot - trompette et bugle
Fred Pasqua - batterie
François Chesnel - piano
Après son premier disque Old and new songs, le groupe emmené par Frédéric Chiffoleau et Yann Loustalot continue d'écrire et de transmettre son carnet de vie.
Sleeper train est une réflexion sur le temps 'élastique', déclenchée par un avion manqué lors d'une tournée du quartet en Russie et d'un voyage en train couchette de seize heures pour se rendre au concert suivant.
Et le temps sembla s'écouler différemment pour chacune; parfois les heurs semblaient s'étirer, parfois elles s'envolaient sans qu'on ait littéralement vu le temps passer. Si notre esprit nous fait croire à une perception parfaite du monde toujours plus cohérent qui nous entoure, nos émotions et notre attention ont une influence bien réelle. Et c'est bien la notion de plaisir qui altère le plus cette perception.
Le temps est élastique. Avec un peu d'adresse, on peut avoir l'air d'être dans un endroit et être toujours dans un autre - Jean Cocteau
ANNULE - report prévu : en attente d'une date.
https://www.francemusique.fr/emissions/jazz-club/direct-henri-texier-trio-au-triton-92273
Henri Texier (contrebasse)
Sébastien Texier (saxophone)
Gautier Garrigue (batterie)
ANNULE - transformation du contrat de cession 30 octobre 2020 reporté au 10 avril 2021 en contrat de pré-achat pour la nouvelle création DISPARITION prévue pour 2023
représentation annulée en octobre 2020 -
Les danses macabres
Les danses macabres replacent la mort au coeur de la vie. Chacun sa mort, chevillée au corps, une mort personnelle, singulière comme la vie. Chaque personnage doit affronter son alter ego en décomposition, son autre soi. Les danses macabres apparaissent dans l'imagerie médiévale au moment des grandes épidémies. Nous découvrons des farandoles joyeuses et inquiétantes qui nous intriguent : pourquoi ce besoin de représenter la mort ? Qu'est-ce que cela provoque en nous ? Quel humour peut se dégager de ces situations, quelle poésie et surtout quelle vie ? Quel bruit ç fait ? Les danses ont l'air joyeuses. Nous avons envie de nous inscrire dans la continuité de ces images en créant une célébration païenne des morts absurdes et tragiques qui peuplent notre vie.
Musiques et sons
D'un piano désossé, il ne reste plus que son cadre d'harmonie, ses touches sont mises de côté, oubliées. Il sonne, donne un étrange langage musical entre matière sonore et musique décalée. Au loin, nous reconnaissons les sonorités du piano préparé. Son jeu est complété, amplifié par des enregistrements sonores contredisants ou prolongeant le jeu en direct.
Une succession de tableaux
Les Danses Macabres vont se décliner en une succession de tableaux musicaux et visuels. pensés comme un concert marionnettique ou une spectacle 'musical', ces danses seront autonomes techniquement et auront vocation à jouer dans et hors des théâtres. Elles seront la rencontre entre la puissance de la musique expérimentale et les personnages marionnettiques.
L'écriture s'appuie sur une forme musicale baroque particulière : les suites. Succession de pièces courtes aux caractères contrastés illustrant à chaque fois une nouvelle danse. Ces musiques pensées pour la danse, nous permettrons d'inventer notre langage propre dialoguant entre mouvements, images et sons, interrogeant les liens existants entre geste et musique.
ANNULE - report au vendredi 27 mai 2022
TEXTE, MISE EN SCÈNE ET MUSIQUE
Jules Jacquet
INTERPRÉTATION
Delphine Meilland
LUMIÈRES
Paul Berthomé
CRÉATION
Saison 2020-2021
DURÉE : 1h15
Ensemble, nous racontons une histoire qui parle de l’amour inconditionnel d’une jeune fille pour une artiste, de son désir d’avoir ce qu’elle n’a pas, de son envie d’être ce qu’elle ne sera jamais, de son oubli d’elle-même dans l’idolâtrie.
Le spectacle est le portrait d’une jeune femme dans son quotidien de solitude, et dans lequel l’imaginaire l’emporte sur la réalité, jusqu’à se confondre avec elle. En prise avec ses propres pensées, Delphine (appelons-la Delphine pour le moment), imaginera son idole, saura parfaitement parler, marcher, se mouvoir comme elle, racontera sa future rencontre avec elle - dans tous les scénarios et dans toutes les digressions possibles, osera même l’incarner parfois, juste le temps de lui faire dire ce qu’elle voudrait lui entendre dire. Et, comme elle voudra être elle-même une idole, elle aura écrit ses propres chansons, répètera minutieusement ses futures interviews, idéalisera inlassablement sa célébrité, jusqu’à vouloir, peut être, se transformer en celle qu’elle admire tant.
Et puis enfin, elle la rencontrera, elle, elle la croisera peut-être quelques secondes
- c’était inévitable, cela ne pouvait pas être autrement. Et elle s’apercevra alors que la réalité n’est pas et ne sera jamais à la hauteur du fantasme. Et l’idole alors disparaîtra, la laissant soudain seule face à elle-même.
Et que fera-t-elle alors ?
concert annulé en mai 2020
ANNULE - report prévu : en attente d'une date.
Répertoire
Reinhold Glière - Huit pièces pour violon et violoncelle opus 39
Gérard Pesson ( natif de Torteron ) -
Bruissant divisé pour violon et violoncelle
Maurice Ravel - sonate pour violon et violoncelle
A la ville comme à la scène, le duo à cordes Les Raveliennes partage l'amour du répertoire pour cette forme chambriste si particulière. Leurs deux instruments s'échangent harmonie et mélodie tour à tour, etremêlant sdans cesse leurs voix pour porter haut et fort les musiques qu'elles interprètent.
Les parcours respectifs de Marie Salvat et Alice Picaud, entre conservatoires nationaux français, étrangers et les sentiers hors-piste les poussent à confronter leur réflexion et élaborer les choix d'interprétation autour du répertoire français du XIX° et XX° siècle.
ANNULE - report prévu : en attente d'une date.
Projet D.I. est né de la volonté de Lionel Palun (électro-vidéaste) et de Delphine Dolce (danseuse) de confronter leurs pratiques dans le champ de l’improvisation. Projet D.I. est donc un duo. La volonté première est d’installer une relation de dialogue entre le corps et l’image où chacun des protagonistes a besoin de l’autre pour exister. Sans image pour l’éclairer, le corps ne peut être vu. Sans présence du corps, l’image ne peut se construire. A partir de cette proposition, une histoire commune peut se raconter. Projet D.I. est un duo où chacun des interlocuteurs improvise. Ce choix s’est imposé dès la conception du projet.
En se dégageant des problématiques de chorégraphie pour la danse et de réalisation pour l’image, c’est la beauté d’une relation sensible et fragile entre le corps et l’image qui est recherchée plutôt qu’un discours porté par une écriture. Nous avons la prétention de raconter une histoire nouvelle à chaque représentation, une histoire qui s’invente dans l’instant où chaque individu qui compose le public a la liberté d’introduire son propre imaginaire et ses propres références. Bien au-delà de la performance, c’est une expérience sensible unique et sans cesse renouvelée que nous visons et à laquelle nous invitons les spectateurs.
Chorégraphie : Delphine Dolce
Vidéaste : Lionel Palun
Voix : Ann-Laure Pilgache
Musique électronique : Anne-Julie Rollet
Photo d'Olivier Humeau
concert annulé en avril 2020 puis en octobre 2020
La Peuge en mai est né du désir de mettre en lien les luttes ouvrières du printemps 1968 et les recherches contemporaines de musiciens-improvisateurs-compositeurs.
De cette intuition a surgi l'envie de recueillir le témoignage de mon grand-père, ancien ouvrier des usines Peugeot du Pays de Montbéliard, sur les souvenirs de ses conditions de travail et des luttes ouvrières de mai 68.
J'ai ensuite repris ce dispositif d'entretiens avec d'autres anciens ouvriers, militants ou responsables syndicaux, multipliant les rencontres et les échanges autour du printemps 68 et du centre Peugeot du Pays de Montbéliard, et réunissant ainsi un matériau sonore qui formera le noyau- à la fois documentaire et poétique - du travail musical.
Faire dialoguer des témoignages et musique improvisée permettra de faire émerger une matière sonore originale. Il s'agit donc de questionner les frontières entre l'écoute des sons et des mots, entre musique écrite et musique improvisée, et documentaire radiophonique. Une aventure contemporaine reposant sur un travail de mémoire, pour réfléchir, partager et rêver avec le public.
Geoffroy Gesser - saxophone
Simon Henocq - électro-acoustique
Prune Bécheau : violon
Francesco Pastacladi : batterie
Aymeric Avice : trompette
Joel Grip : contrebasse
En partenariat avec l'ONDA
Nous sommes le duo Léonard, nous écrivons à 4 mains des chansons qui racontent, en français sur de la musique pop, le FATRAS de la vie amoureuse.
Texte : Lydie Baron & Jean-Baptiste
Prioul
Musique et voix : Lydie Baron & Jean-Baptiste
Prioul
https://lamusiquedeleonard.bandcamp.com/track/fatras
En partenariat avec les Bains-Douches de Lignières
concert annulé en mai 2020
DATA LIVR PROJECT est un trio trompette, guitare, batterie. Une instrumentalisation originale inspirée par le travail de son du trio Dave Douglas Tini Belle Trio.
Dans ce programme, le répertoire acoustique et l'ajout électronique augmentent les possibilités sonores de la trompette.
Pour ce programme, j'ai choisi d'explorer un sujet qui me tient à coeur, : nos chemins de vie avec toutes leurs réflexions, intensités, sensations, questionnements, réponses, émotions...
Return to the source est né d'un besoin, d'une nécessité de transmission, celle d'une expérience...d'u moment de vie unique, d'un retour chez soi, en soi... (Alain Vankenhove)
Répertoire :
- l'agitation ( avec instruments augmentés)
- les retrouvailles
- la renaissance
- le nouvel explorateur ( avec instruments augmentés)
Trompette : Alain Vankenhove
Guitare : Emmanuel Codja
Batterie : Gautier Garrigue
concert annulé en décembre 2020
Le Génie de Bricolo, c’est l’histoire de trois musiciens qui redécouvrent un grand artiste du cinéma muet, Charley Bowers (dit Bricolo) .
À l’initiative de Franck Passelaigue, ils décident de « mettre en musique » les aventures de Bricolo, un inventeur loufoque aux idées frappadingues. Nous vous proposons d’embarquer pour un voyage imaginaire au cœur du burlesque/absurde, du surréalisme et du fantastique.
Découvrez comment ce génie bricoleur se met en tête de créer une machine abracadabrante,
des œufs incassables ou encore des greffes de chats teignes .
Franck Passelaigue : Compositions, Guitare électrique
Léa Lachat : Accordéon, Orgue électrique
Bruno Bertrand : Batterie
spectacle annulé en mars 2020, puis décembre 2020
Un projet théâtral de la Compagnie Oculus
adapté du roman d'Arnaud Dudek (Alma Éditeur, 2012)
L’Histoire est en gros, vingt-quatre heures de la vie de Martin, un trentenaire au bord de la crise de nerfs. Martin a perdu son travail, sa petite amie l’a quitté, il aimerait remettre sa vie en ordre, ne trouve rien de mieux à faire que de ramasser un marteau et de se diriger vers l’appartement de son ancien patron.
Un micro-road movie, donc. Drôle et triste. Profondément contemporain.
Dans nos ''Rester sage'', outre Martin, vous croiserez un pigeon biset, un sac à dos mauve, un jeune admirateur de Raymond Radiguet, des bus et un cadavre. Vous ne trouverez pas d’ours polaires, de septuagénaires nées à Cahors, de magasins de jouets fermés le lundi matin, de vélos d’appartements ni de nourrissons.
Il vous sera possible de commander le plat du jour, soit un risotto à l’encre de seiche. Sachez également qu’il vous sera difficile de boire du jus d’orange.
Et donc, dans leur ''Rester sage'', vous trouverez des bouts d’Audrey Dero et de Julien Pillot. Ces comédiens épatants ont compris l’histoire, au sens étymologique : ils l’ont prise avec eux, pour mieux l’amener dans leur univers. C’est leur voix, à présent, qu’ils vous proposent d’écouter. Elles s’ancreront longtemps dans votre esprit, je l’espère, j’en suis persuadé.
Martin a de la chance, au bout du compte : il n’a pas une vie simple, mais il a trouvé de chouettes passeurs de mots. »
Arnaud Dudek, mars 2014
Interprété par Audrey Dero et Julien Pillot
Durée : 1h20, sans entracte
Le spectacle
Public : Tout Public et Scolaire à partir de la classe de 4ème (13-14 ans).
Texte : Arnaud Dudek, ©Alma Éditeur
Adaptation, mise en scène et interprétation : Audrey Dero et Julien Pillot
Arrangements sonores : Nicolas Luquet
Régie lumières et régie son : Alain Maillou (Act3)
Drame burlesque et théâtre gestuel
Au moment où nous observons cet étrange binôme, rien ne nous indique son histoire.
Pas de passé, pas de futur, seulement l'instant présent. Ce qu'ils font là ? Rien, deux fois rien, ils sont assis là, à se partager un bout de banc tout juste assez grand pour leurs deux paires de fesses.
La société, la vie, la foule, la terre qui tourne, laissent sur ce banc ces deux personnages. Deux laissé pour compte. Point fixe d'un mouvement perpétuel. Les minutes, les heures et les jours se dilatent et se rétrécissent au gré de leurs jeux, de leurs humeurs, de leurs angoisses, de leur désirs. Accrochés l'un à l'autre, bouée ou boulet, ils se maintiennent au bord du gouffre pour le meilleur et pour le pire. Ces "deux riens" sont des êtres déchirés par les lois du réel auxquelles ile ne peuvent se soumettre. Ilse se réfugient à l'abri d'une fantaisie de leur esprit pour pouvoir survivre, dans un univers en marge de ceux qui les rejettent comme des naufragés. Ils ne combattent par le tragique, à l'image des héros, mais l'acceptent et ouvrent des chemins buissonniers. ces clandestins du réel s'occupent, s'écrivent, s'inventent un ailleurs, un entre-deux et choisissent de passer à l'abordage du monde réel par le biais du jeu. La vie et la fiction se répondent sans discontinuer. Un élément, comme une balise, dernier ancrage au réel : un banc. Théâtre des émotions...
L'imagination comme symbole de liberté. S'évader de la réalité vers autre chose, afin de compenser les insatisfactions de la vie réelle. Sont-ils vraiment deux ou l'un est-il l'invention de l'autre ? Une réponse à sa solitude ?
Interprétation, mise en scène et chorégraphies : Clément Belhache et Carolyne Maydat
Regards extérieurs : Cie à Fleur de Peau , Dense Namura et Michael Bugdahn
Création lumière : Karl Ludwig Francisco
Création sonore : Michael Bugdhan
1 ° prix de danse chorégraphique contemporaine
Prix 'Entrez dans la danse'
Prix de la bergerie de Soffin
1 ° prix d'écriture chorégraphique au Cortoindanza 2017 (It.)